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Arthur Langerman, collectionneur de documents sur l’antisémitisme est né en 1942 à Anvers.
En mars 1944, sa famille est déportée dans le camps d'Auschwitz.
Son père n'est jamais revenu. Sa mère a survécu à Birkenau et est rentrée en Belgique.
"Elle parlait à peine", raconte-t-il.
"Comme d'autres à l'époque, elle avait honte d'être restée en vie - je ne savais donc pas grand-chose de ce qui s'était passé là-bas.

Nous vivions à Anvers, je suis allé à l'école, j'étais actif dans le mouvement de jeunesse juif Hashomer Hatzair et à un âge relativement précoce, j'ai commencé à travailler, pour aider à soutenir la famille.“ (
Source Haaretz)
Comme beaucoup de ses contemporains, il prend la mesure de l’horreur de la Shoah en 1961, avec le procès Eichmann.
C’est à partir de ce moment qu’il rassemble un fonds de plus de 7000 documents, affiches, journaux ou objets antisémites.

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